18 juillet 2013

Un peu de poésie

L'année dernière (en mai il me semble) j'ai écrit une petite poésie. Depuis, j'ai écrit encore une et c'est tout. Je ne sais pas si j'en suis fière, mais en relisant ces quelques lignes un ans plus tard, ça me fait quand même plaisir !

Et comme j'ai un petit blog ici, je partage donc cette petite création amatrice :

Goutte d'eau, perle brillante
Un petit rayon chatoyant,
Le trottoir est une vague grise
Les feuilles trempées de pluie s'y brisent,
Une brume frémissante, les réverbères dormants
Le vent les emporte [ tout ] doucement.

La nuit comme un grand voile 
tente de masquer la lueur des étoiles,
Le jour se lève, je souris
Ma peau se remplit des perles infinies,
Goutte de pluie, coule ma vie 
Tout est dit, tout est fini.

16 juillet 2013

Nous sommes tous les poissons

En ce moment, j'écris une brève sur les requins pèlerins qui ont été aperçus près de Finistère Sud (Bretagne) cet été. Et je regarde plus d'information sur les requins en général. 
Sur Wikipédia (merci Wikipédia, rien de plus simple), je viens de découvrir que le requin blanc est considéré faussement comme un requin dangereux. Oui, il est responsable de plusieurs attaques contre les être humains, mais l'homme n'est pas sa proie première. Ah bon? Selon la source citée, ce "mangeur d'hommes" commet un crime par erreur de son analyse visuelle. Donc, il voit dans l'homme ce qu'il n'est pas et le mange comme si c'était un poisson, une tortue de mer ou encore des pinnipèdes (les lions de mers, les phoques, les morses).  
Ah, ça alors ! C'est quand même curieux de savoir que dans les yeux de requin nous sommes simplement des poissons. Des gros poissons !

René Magritte - Poisson

Être fort(e)

C'est toujours dans les moments inquiétants que la force se multiplie. Quand le stress devient trop grand ou quand je me fais refouler pour une raison ou une autre dans une affaire assez importante pour moi. Je me dis "Non, non et non ! Tu ne baisses pas les bras et tu continues te battre jusqu'au point final !". 

Lorsque la vie est calme et très planifiée, alors je perds ma vigilance et je ne sais plus comment contourner les choses qui peuvent potentiellement faire mal, trouver des bonnes solutions.  Et donc, quand tout va bien je suis calme et beaucoup trop relaxée. Mais dès que qqch ne va pas pour les raisons qui ne dépendent pas de moi (la difficulté pour les papiers administratifs, les problèmes de nationalité,etc) alors la force vitale vient plus vite et me nourrit comme ruisseau miraculeux. 

Ainsi, pour être ingénieux et savoir survivre toutes les difficultés il faut donc être exposé aux situations désagréables de temps en temps ? Ce n'est que pour acquérir une inviolabilité personnelle !

10 juillet 2013

Quand le temps passe vite

Par définition, le repos est l'absence de mouvement, et le mouvement est l'absence de repos. Alors, comment faire pour trouver son juste milieu ?

4 juillet 2013

Savourer le moment

Début juillet n'offre pas beaucoup de soleil cette année. Juin était pluvieux et flottant et, à mon avis, un peu trop chaud même. Juillet est différent. Il commence par les nuages et le temps gris. Mais, je garde un petit espoir pour le retour du beau temps. Je me dis juste que juillet a encore assez de temps pour changer et devenir le mois le plus chaud et/ou le plus ensoleillé de 2013. 

Ainsi, pour rattraper la manque de vacances et de repos, je vais visiter la Côte de Granite Rose, une zone côtière située dans les Côtes-d'Armor au nord de la Bretagne, dans la région historique du Trégor. C'est un endroit insolite visité par milliers de gens chaque année. Et moi, ça fait presque 3 ans que je vis à Rennes mais je n'ai visité "the place to be" en département Côtes-d'Armor.

L'année dernière, je suis allée dans le sud de Finistère et aussi j'ai visité quelques endroits sympathiques en Morbihan. C'était deux voyages magnifiques qui m'ont permis de sentir plus l'esprit breton. Je n'ai pas croisé les gens qui parlaient breton, mais même les pancartes sur la route créent une ambiance spéciale et émergent dans la Bretagne bretonne.

Cette année donc, c'est la côte de Granite Rose. Je n'ai pas regardé les sites et les bouquins suggérant ce qu'il y a à visiter. Et je ne le ferai pas. Je vais plonger dans la découverte de l'inconnu. Rouler juste, s'arrêter là où je voudrai, prendre du temps pour admirer, marcher et mouiller mes pieds dans l'eau de la Manche. 

J'essayerai de faire plein de photos et remarquer les détails pour mieux m'en souvenir plus tard. Je voudrais aussi écrire une petite histoire sur qqch d'étonnant que je vais rencontrer là-bas. Des gens sympas ? Des sentiers perdus ? Des côtes maritimes étonnantes ? Le ressenti de bonheur ? Je vais noter tout, tout, tout !

Et enfin, une vidéo sympa pour entretenir l'esprit du voyage :

  

24 juin 2013

Le plus long mot allemand

Un concurrent allemand pour le plus long mot français "anticonstitutionnellement". Le plus long mot allemand : 

Rindfleisch­etikettierungs­überwachungs­aufgabenübertragungsgesetz.

63 lettres !!! :D


En découpant ça donne ça : Rindfleisch­-etikettierungs­-überwachungs­-aufgaben-übertragungs-gesetz


Alors, les mots pour traduire :
Gesetz - la loi
Übertragungs - de transfert
Aufgaben - des tâches
Überwachungs - de contrôle
Etikettierungs - de la mise des étiquettes
Rindfleisch - sur la viande bovine

C'est le nom d'une loi allemande qui définit les règles de contrôle des étiquettes sur la viande bovine.


Incroyable !!

17 mai 2013

Ne pas se prendre la tête

Il faut laisser refroidir les pensées qui brûlent. Ou les pensées qui sont un peu tièdes. Ou même, les pensées qui sont froides mais qui peuvent quand même exploser. 
De manière générale, il vaut mieux jeter tout ce qui fait mal ou qui apporte des malheurs. 
Mais, comment vivre la vie heureuse à tous les instants ? Comment vivre toujours ce fameux "moment présent" ? 
Il est difficile parfois de refuser son petit cocon confortable ou de ne pas être dans les pensées de futur. Et puis, il faut juste prendre son temps et avancer dans son rythme sans trop souffrir à cause de qqch d'extérieur (les gens, les circonstances qu'on ne peut pas influencer, etc.). 
Une harmonie totale, est-ce que cela existe réellement? Ou il faut toujours passer par l'enfer du quotidien pour avoir qqch secondes de bonheur par mois ? 
Dur, dur la vie !

15 mai 2013

Un mois de travail

Aujourd'hui ça fait un mois que je suis en stage de fin d'études en licence. 

L'histoire de cette affaire est longue et assez bizarre. D'abord, l'université nous impose ce stage étant  obligatoire pour l'évaluation finale. Puis, 6 mois après les recherches douloureuses de la part de chaque étudiant de ma promo (on est 500 environ), l'administration nous annonce que le stage n'est plus obligatoire. Pourquoi ils ont pris cette décision, alors là je ne sais pas. J'ai que deux idées là-dessus. Soit il y avait beaucoup d'étudiants qui se plaignaient qu'ils n'ont pas pu trouver des pistes, soit, et je crois que c'est une vraie raison, les professeurs n'ont pas envie de vérifier plus de 400 rapports de stage. 

Moi personnellement, je ne m’inquiétais pas, parce que mon stage a été trouvé au mois de janvier. Je m'y prenais assez tôt en commençant à attaquer les entreprises à partir de mois de novembre. J'ai anticipé également cette affaire et au lieu de demander 2 ou 4 semaines de stage comme il est prescrit, j'ai tenté de décrocher un stage de 3 ou 4 mois ce qui parait toujours plus intéressant pour l'employeur. Et j'ai réussi ! Un stage de 3,5 mois en rédaction web et en gestion du site Internet. 

Je ne regrette absolument pas de ne pas avoir des vacances, de bosser presque tout l'été, et de me fatiguer tous les jours. L'essentiel est que j'ai une petite expérience dans le domaine où je voudrais travailler. En plus, un petit paragraphe avec le mot "stage" donnera plus de poids à mon CV. Ne ce serait-pas un bonheur ? Bien sûr que si ! 

Certes, au début il était difficile, je n'arrivais pas à suivre bien le rythme, à être au boulot tous les jours de 9h à 17h. Je m'embête aussi avec la question éternelle :"Qu'est-ce que je pourrais manger à midi au boulot ?". Vu que les stagiaires ne sont pas du tout remboursés sur leurs frais de transport ou de nourriture, alors je dois me débrouiller au mieux et sans beaucoup trop de dépense en même temps. 
Mais, tout ça, ce ne sont que des détails... du quotidien. L'essentiel qu'un résultat bénéfique soit  là et reste avec moi.

Un mois de travail,  un mois d'un nouveau rythme de vie, un mois de temps utilisé efficacement. Chouette !
Maintenant il faut continuer son petit chemin et penser à faire encore quelque beaux stage avant de quitter la vie étudiante.

14 mai 2013

Un joli mot

De temps en temps, je trouve des petits jolis mots qui sonnent bien. Cela peut être n'importe quel mot. Un mot scientifique, un adjectif, un adverbe, un nom propre, un mot bizarre qui n'existe pas dans le dictionnaire. Bref, tout ce qui sonne bien. 
Et donc, voici encore une trouvaille qui a glissé dans ma boîte aux mails ce matin. Un nom d'une commune dans le département des Côtes-d'Armor (Bretagne). 
Lanrelas
Quelle belle consonance ! Cela me fait penser à Lorelei, aux petits ruisseaux qui découlent dans les montagnes d'Autriche, aux fées qui dansent, aux petits chants qui murmurent par ci, par là. Un mot semble envelopper les oreilles et les mettre au chaud.
Je ne sais pas comment sont les habitants de cette commune, mais j'aime bien ce mot
 

Etre vrai

Pour être unique il ne faut pas faire beaucoup d'efforts. Il faut tâcher d'être soi-même.
Chacun a son style particulier. Je parle de la manière dont la personne se comporte : ses gestes, ses regards, ses mouvements bien particuliers. Des détails qu'on ne remarque pas du premier coup mais grâce à quoi on distingue une personne d'une autre. Ce style personnel contient aussi la voix, la manière de rire, la manière de dire des choses avec telle ou telle intonation, etc. Et, en fait, pour être perçu et retenu par des autres, il ne faut que développer ses propres petites particularités. 
A mon avis, c'est ça qui caractérise au mieux la personne et crée ainsi son "image" unique. 
Être vrai - voilà la clé de réussite !

Il est grand temps

de faire confiance et de se diriger vers les choses plus sérieuses.

26 avril 2013

Prendre des risques pour avancer


La semaine dernière j’ai emprunté un bouquin qui parle des plus grandes réussites du Web. Il est organisé en tant qu’un grand recueil de témoignages des fondateurs des entreprises Web, bien connues aujourd’hui. 

Ce sont, par exemple, Hotmail, Google, Yahoo, PayPal etc. Il y a plein de choses intéressantes et utiles. Moi, j’aime lire des interviews bien construites qui parlent de l’expérience, de la réussite et des échecs. Je n’ai pas tout lu, juste sur les projets qui étaient intéressants pour moi. Enfin, c’était surtout des histoires sur les projets que j’utilise le plus.

Ainsi, j’ai noté qq idées intéressante. Presque tous les témoignages partagent l’idée que les aventures et toute sorte de l’incertitude personnelle est une base pour avancer efficacement. Toute expérience est bonne à prendre, même si elle ne se déroule pas comme prévu et part vite en négativité. 

La majorité des gens n’aime pas les aventures et vit mal l’incertitude (quel que soit le domaine d’activité). Ainsi, les créateurs des projets tombent d’accord sur l’idée que finalement la réussite ce n’est pas juste le « miracle » en soi, mais aussi le courage pour prendre des risques et pour aller vers l’inconnu avec des « yeux fermés ».

Le créateur de Gmail donne une métaphore intéressante : « Si vous avez la possibilité de jouer à la roulette russe avec un revolver dont le barillet compte un million de trous, ce qui laisse une probabilité très faible de mourir, à partir de quelle somme accepteriez-vous de jouer ? ». L’idée, donc, est suivante : on ne se rend pas compte qu’on joue en permanence et que d’une façon ou d’une autre on prend des risques. 

Par exemple, on se rend chaque jour au travail pour gagner de l’argent et cela correspond au même risque qu’avec revolver. Mais (!) la plupart ne reconnait pas cela et fait de telle sorte que sa vie ne comporterait aucune risque. Vouloir se cacher qq part, c’est un comportement tout à fait naturel. On vise tous la vie calme, assurée, posée, sans trop de soucis. Pourtant, chaque personne à un moment de sa vie (au début de vie professionnelle, par exemple) se confronte à des difficultés mais dès qu’elle trouve le milieu favorable pour son existence, elle s’arrête et n’avance plus.

Oui, on pourrait dire qu’il y a des gens plus disposés à la vie active, au leadership, et d’autres y sont beaucoup moins. Malgré cela, il ne faut pas avoir peur. Juste agir, foncer, basculer et peut-être même bouleverser certaines choses. Je ne sous-entends pas ici le fait d’être « agressif », mais juste d’être « volontaire ». 

Peu importe, finalement, ce qui nous advient, l’essentiel est d’avoir le maximum d’expérience, apprendre le nouveau, améliorer les choses déjà apprises. C’est comme si on marchait tout au long de la plage et ne s’arrêtait que pour admirer le paysage et le soleil couchant.

25 avril 2013

Des mots, des mots, des mots


Les mots nous entourent à chaque instant de notre existence. Ils constituent des nuages invisibles qui nous suivent partout et serrent fort dans leurs bras.

Nous parlons, nous écoutons, nous écrivons, nous nous exprimons. Les mots sont un outil le plus utilisé au quotidien. Au tout début de la vie, les mots représentent pour nous un jardin mystérieux qu’on n’a pas droit de toucher. Mais plus on avance, plus on arrive à les apprivoiser et mettre dans notre boîte magique personnelle. Oui, c’est tout à fait la magie ! Elle fait que ces petits connecteurs de la vie prennent tout le temps une forme différente.

Les mots forment les pensées dans la tête et inventent le déguisement parfait pour nos futures paroles. Les expressions, les phrases découlent d’un simple mot qui commence la phrase. Des milliards des mots traversent chaque jours nos agendas, nos sms, nos mails. Ils volent au gré du vent et passent beaucoup plus du temps en volant que tous les avions du monde.  

Parfois, il me semble qu’ils sont des petites bêtes sauvages qui sautent de partout. Comme les crevettes dans l’eau qui s’écartent grâce à leur queue puissante.

Mais les mots c’est très vaste comme notion. Il y a des mots légers et doux comme coup de vent de printemps. D’autres sont étranges et inquiétants se ressemblant à un serpent qui se contorsionne. Il existe des mots aveugles qui nous regardent sans nous voir. Et on peut fournir notre éventail avec tout ce qu’on veut et même inventer des formes propres à nous. 
Chacun est capable de créer son propre petit « quelque chose » avec des mots. Et c’est avec minimum de l’imagination. Mais on est souvent persuadé que c’est un métier des gens ingénieux et surdoués. Oui, il y a des experts qui attrapent les mots fous et forts pour les mettre dans le décor approprié. On appelle ces gens des écrivains. Ils sont toujours à l’aise : qu’il s’agisse d’écrire ou de s’exprimer. Or, les mots ce n’est pas un privilège.

Les mots comme oiseaux, comme vagues qui se brisent contre les rochers. Les mots comme outil de vie, comme arme la plus puissante de toutes les armes existantes. Ce sont des flèches volantes qui percent le cœur. On a connu tous la douleur d’un mot blessant. Cela nous a marqué, et même a détruit une part de nous. C’est aussi une partie de périple. Le noir et le blanc qui se suivent.

Pourtant, il y a toujours des sources de bonté, de charité et d’inspiration qui nous entourent. On a toujours des bons gens à côté qui sont prêt à nous enrichir par les des mots, nous guérir avec juste quelques phrases gentils.

Tout le monde devrait apprendre à aimer les mots, à les caresser, à les percevoir comme choses douces. Oui, on va toujours rencontrer des mots les plus indignes et étourdissants. Mais c’est en aimant les mots qu’on comprendra comment les utiliser pour son bonheur et celui des autres.

Mais, est-il aussi facile d'aimer les mots ?

28 février 2013

Juste par curiosité

Je ne sais pas vivre autrement que par curiosité. Ce n'est pas un défaut, mais bien une qualité très précieuse. C’est elle, la force qui réside dans toutes les affaires que je fais, c’est elle, l’inspiration qui vient par hasard et fais une fête spontanée dans ma tête. Cette curiosité oblige ou même force à vivre intensément et toujours être en mouvement pour découvrir quelque chose de plus. Elle est tellement magnifique cette force d’un homme curieux, qu’à chaque coin de la rue il y a pleine de magnifiques surprises. Parfois inattendues, parfois surprenantes, parfois fascinantes.

Être curieux c’est toujours être actif, ne jamais baisser les bras, toujours vouloir d’avoir plus, ne pas se fatiguer et laisser les yeux ouverts prêts à apercevoir le nouveau. D’une part, c’est épuisant d’être toujours actif, cela ne peut pas durer tout le temps, ce n’est pas naturel diriez-vous, mais d’autre part, ce n’est pas un effort supplémentaire mais c’est un style de vie par défaut qui épanouit pleinement l’existence routinière. Pour moi la curiosité c’est une simple source qui dénigre la fatigue et toutes les manifestations de la négativité.

D’autres fois, il me semble que c’est le fait d’être curieux qui constitue l’esprit d’une personne jeune. Lorsqu’on perd cette faculté de s’intéresser aux choses, de vouloir savoir plus, de vouloir découvrir les gens, c’est à ce moment là qu’on dépasse une limite et devient « vieux ». Mais lorsqu’on ne perd pas cet envie de s’émerveiller devant la beauté de la nature, la diversité des pays, des livres pleins de courage, alors on garde la « jeunesse » qui nourrit et ne fait pas tomber au fond du gouffre.

La curiosité aide à diversifier le contenu de nos aventures quotidiennes. On rencontre des gens passionnants, on vit des expériences parfois plus qu’uniques, on devient des véritables aventureux. Tout cela, c’est un remède contre le quotidien gris, la routine infinie, des petits soucis rendant  la vie insupportable.


Pas de temps de se consacrer au gris, tout simplement parce que la vie c’est maintenant. Et, c’est la curiosité qui permet de la maintenir et de ne pas remettre à demain ce plaisir de chaque instant. On a tous le bonheur d’être né, de vivre là... alors, allons profiter du moment, allons voyager avec un sac à dos et un billet de train/d’avion, allons, allons!

Comme j’écrivais dernièrement dans ma réflexion sur la beauté, j’aime beaucoup observer les gens dans la rue, dans le transport et surtout observer les gens quand je suis en voyage. Les habitants des autres pays sont juste différents, avec leur regard à eux, avec leurs traits de visage particuliers. J’aime remarquer les détails de leurs habits, des émotions instantanées, des mouvements de corps qui constituent leur unicité. J’aime les gens souriant dans la rue. Ils marchent, et puis quand on les croise par hasard, ils nous sourient. C'est une véritable magie et le plus grand émerveillement qu’on peut trouver à tout moment.

Mais l’histoire d’une personne ne s’arrête pas sur son apparence et sur son regard émus, heureux, étonné, confus, triste. Des vraies valeurs se trouvent beaucoup plus profondément, derrière une porte solide. Parmi tous ces passants qu’on croise au hasard dans la rue, il y a toujours ceux dont le regard on retient et garde pendant longtemps. Les trésors sont parmi nous, il suffit d’ouvrir juste les yeux et de les Voir. Et après les avoir vu, il faut donc se mettre à Vivre, et ne jamais laisser passer à côté ce que nous rend plus fort, plus heureux.

Par contre, je n’entends pas par la curiosité une « vitesse » ou une « consommation » extrême des biens communs. Non. Pour moi c’est plutôt une aptitude à prendre son temps, à vivre intensément chaque chose rencontrée, et être tout simplement plus attentif. Etre curieux c’est arriver à mordre dans la vie et ne jamais se laisser aller.


Vivre ! S’intéresser ! Etre curieux ! Savourer ! Respirer à pleins poumons ! 

27 février 2013

Faire un changement

Lorsqu’il y a un besoin de changement, alors il faut le faire mais pas trop rapidement et à l’arrache. Avant de l’effectuer, il est important de comprendre quelles sont les raisons qui l’amènent, quel est le contexte particulier, et surtout penser aux détails et aux conséquences qu’engendra ce changement.

Oui, en théorie tout est très clair, simple et faisable. Mais une fois on est dans la vie réelle, et encore pire dans la situation difficile qu’on n’arrive pas à saisir, que cela devient compliqué de réfléchir et rester critique.

Moi, la plupart du temps, je n’aime pas le changement que lorsque je l’ai décidé, qu’il n’est pas trop dur à accepter, et que, bien entendu, je le contrôle. Dans ce cas je vais mollo, sans trop me mettre la pression et sans trop stresser non plus. C’est un changement soit prévu depuis longtemps, soit inévitable selon les circonstances imposées par une source extérieure mais qui ne touche pas vraiment à la vie personnelle. Par ailleurs, cela arrive plus rarement que le changement imprévu, soudain et non désiré. Si le changement est désiré, ce que c’est plutôt un plaisir du moment mais ne pas vraiment un changement qui fait souffrir.

Le changement c’est un effort à faire, c’est une épreuve pour la volonté personnelle, c’est une manière de montrer sa force. Oui, parce que le changement est beaucoup lié avec un grand nuage d’incertitudes qu’il faut dissiper. Donc là, pour apercevoir ce changement, déjà il faut le sortir de ce brouillard floutant. Une fois qu’on a une idée de ce changement, alors là il faut savoir le gérer correctement selon le contexte. Ce qui peut empêcher, ce sont des circonstances imprévues, des conditions particulières, des personnes. D’habitude, pour éviter des résultats douloureux de tout changement, on commence à douter, on recule, on change la direction, on se cache, on échappe en élaborant par exemple une autre stratégie. Cela peut amener à la perte considérable de confiance aux autres, et surtout en soi. Il est facile de tomber quand il n’y a personne qui pourrait soutenir et peut-être diriger vers autre chose. La solitude est assez étroite comme telle et n’apprend pas à voir la situation des différents côtés.


Pour moi, la solution c’est rester calme, avancer quoi qu’il en soit, et avoir l’esprit d’un véritable guerrier. Il faut serre les poings, baisser la tête et attaquer. Il faut se préparer au choc qui est inévitable mais cependant aide à avancer. Peut-être même, il faudrait adopter un comportement méchant pour ne pas longtemps qui, comme une cotte de mailles, protégera contre la douleur et permettra de s’habituer à un nouvel environnement.

Finalement, pour résumer un peu, je pense qu’il est il important de faire un ou plusieurs changements dans sa vie. C’est quasiment une seule chose qui oblige à vivre, vivre fort, vivre en accord avec ses propres valeurs, ses rêves mais aussi avec les comportements des autres gens. Oui, parce que la plupart du temps, on effectue ce changement particulier pour mieux cohabiter et créer un beau puzzle avec le monde qui nous entoure.

On pourrait aussi considérer le changement comme un certain rythme de la vie aidant à mieux tracer son chemin : libre, heureux, curieux, ouvert au monde.

26 février 2013

Je suppose, donc je suis

Les suppositions, quand elles ne sont pas dans la dimension scientifique, c’est comme robinet qui fuit et emplit d’abord l’évier et puis petit à petit toute la cuisine.

Les gens sont toujours amenés à supposer plein de trucs, et et les transformer en inquiétude inutile. D’une part, c’est bien supposer, triturer la situation donnée, réfléchir aux différents scénarios probables, et, d’autre part, en supposant on se donne mal, on souffre, on a tout le temps de mauvaises pensées.

Le plus souvent, ce sont les relations humaines qui génèrent le plus de suppositions. Qu’est-ce qu’il a pensé de moi ? Est-ce que je lui ai donné une bonne réponse ? Pourquoi il m’a regardé comme ça ? Il a voulu me dire qqch de spécial ? Pourquoi il est énervé aujourd’hui ? Peut-être il est énervé à cause de moi ? Qu’est-ce qu’il croit que je pense qu’il pense ? Il m’en veut parce qu’hier je lui ai dit que… et éventuellement il a cru que...

Lorsqu’on est au marché, on ne sait jamais si des légumes ou des fruits qu’on achète seront juteux. On n’est pas dans la pastèque et il ne nous reste qu'à supposer qu’elle aura un bon goût. De même, on ne peut pas non plus être dans la tête et le cœur des gens. On suppose leurs réactions, ce qu’ils pensent vraiment de nous, ce qu’ils ressentent, qu’ils auraient voulu nous dire. Pour ceux qui ont une bonne imagination, le fait de supposer ne peut être qu’un plaisir d’inventer des nouvelles images, des nouvelles issues possibles, des nouvelles réponses d’une personne en question.

L’avantage d’un être humain sur des légumes ou des fruits achetés au marché consiste en sa capacité naturelle de communiquer avec les autres gens, leur demander éclaircir des malentendus, reformuler ce qui a été mal interprété, expliquer les choses de son côté, comprendre et… enfin s’entendre. L’être humain est aussi généreusement doué d’avoir l’aptitude à faire confiance. Faire confiance aux amis, aux collègues, aux amoureux… bref, à tous ceux qui nous entourent au quotidien. Ces atouts naturels dont dispose chacun de nous, sont une véritable source de la vie heureuse, de la vie pleine de bons moments, de la vie surprenante à tout moment.

Mais la plupart du temps, les gens préfèrent rester dans une ignorance bienheureuse et s’empoisonner peu à peu par leur incapacité d’affronter leurs suppositions qui se multiplient promptement et amènent à rien. Les gens préfèrent supposer, ne pas comprendre les choses, se tourmenter, amplifier la difficulté de communiquer. Et si on ne soigne pas ce point douloureux, il explosera de manière ou d’autre…

27 janvier 2013

Journée des mots inconnus

On est toujours en train d'apprendre des nouveaux mots et des nouvelles expressions indépendamment de l’âge et du milieu social. Cela est commun aussi bien pour une langue maternelle que pour une langue étrangère.
Lorsqu’on communique en langue maternelle, on ne fait pas forcément attention à ce comment on dit les choses. La manière et la structure de "comment il faut que ça se dise" est dans nos têtes dès la naissance. Alors que, en communiquant en langue étrangère pendant une longue période il peut arriver les situations diverses et surtout comiques. 

Au début de l’apprentissage de n’importe quelle langue étrangère, l’essentiel est d'apprendre les mots pour ainsi pouvoir repérer le contexte général du message. Puis on approfondie les connaissances pour parvenir à un bon accent afin de se faire comprendre. On étudie également la grammaire pour si besoin savoir non seulement se repérer avec le guide touristique mais aussi savoir produire les messages plus ou moins bien rédigés. 

Pour apprendre une langue il ne suffit pas bien évidemment de prendre les cours express de 3 mois. Il faut des années et des années. C’est un projet de long terme, alors il ne faut pas être pressé, mais juste apprendre un peu de nouvelle information de préférence chaque jour pendant 30-40 minutes. Le matériel doit pouvoir rentrer dans la tête et y rester pendant longtemps en se transformant en savoir-faire. Cela demande beaucoup d’efforts, de volonté et de discipline personnelle. 

Puis, quelques années plus tard, quand on a déjà un meilleur niveau en langue étudié on se sent bien à l’aise lors des voyages dans les pays où cette langue est parlé, on a une meilleure mémoire, on a un bon atout pour la vie professionnelle. Bref, on croit que c’est fini et que maintenant la langue est complètement apprise. Et là, c’est le moment de rupture. Les études assidues sont terminées mais l’apprentissage continue quand même. 
C’est le plus intéressant qui commence : une période d'un apprentissage éternel d'une langue. 

On plonge dans les recherches plus affinées où il ne faudra pas se focaliser sur chaque mots, mais où il y aura quand même un certain nombre des nouvelles choses. Toujours les tournures inconnues, des mots jamais rencontrés auparavant, les constructions des phrases plus approprié pour la langue, les expressions des émotions, des intonations qui font le sens d’une phrase etc. Si on prend la grille de l'évaluation de connaissances de la langue étrangère, alors je peux dire qu'en ce stade-là on dépasse surement le niveau C2 (le dernier niveau qu’on peut atteindre).

A mon avis, c'est une période de plaisir lorsqu’on découvre tout le temps quelque chose de nouveau qui s’accumule et puis ressort dans les moments nécessaires. 
Moi, par exemple, je subis de temps en temps les "journées des mots inconnus" quand 70% de mots rencontrés sont soit les mots que je ne connais pas du tout, soit ceux que je connais mais dont je ne me souviens pas la signification. Cela se ressemble un peu à un mouvement du sinusoïde. Tantôt le niveau de langue est très bien, je reconnais tous les mots et n'ai pas vraiment besoin d’un dictionnaire, tantôt c'est totalement le contraire et je n'arrive pas à m'exprimer bien, ni de lire les textes sans utilisation fréquente de un, voire deux dictionnaires. Il est très probable que dans ces moments le cerveau s'endort ou part en vacances improvisées. Je crois qu’il faut lui donner un peu de repos pour qu’il commence à travailler encore mieux. Dès fois je remarque que dans les situations de stress le cerveau a une capacité de ressortir l’information que je ne m’attendais pas du tout à avoir dans la tête. Et pourtant elle y est depuis longtemps ! 

Donc, s’il vous arrive un jour de commencer à apprendre une langue étrangère, sachez que les premiers quelques cours ce n’est vraiment que le début ! Le plus intéressant commence beaucoup plus tard avec l’acquisition d’une base des connaissances solides. Et puis, cet amusement dure toute, touuuute la vie jusqu’à ce que… vous ne lâchez pas cette affaire !

25 janvier 2013

Réflexion sur la beauté

Quand j’ai de choses à faire dans la ville, je prends plusieurs fois le métro, le bus, le vélo ou je marche tout simplement à pied. Ainsi, en me promenant dans la rue parmi les gens inconnus, j’aime bien les regarder, deviner leurs émotions, observer leurs mouvements particuliers, leurs regards, leurs gestes. Souvent je croise les gens dit « normaux » qui sont sympathiques mais ne pas vraiment beaux et ne pas non plus vraiment laids. Dès fois il m’arrive de croiser les gens qui pourraient être beaux mais ils ont un regard méchant ou les traits de visage de qqun agressif. Mais dès fois il y a les jours où tout ceux qui je croise sont d’une beauté extrême. C’est éventuellement une coïncidence mais il y a vraiment des jours des « gens très-très beaux ». 

Quand je dis « des gens beaux » je sous-entends la beauté naturelle, celle qui est attribué depuis la naissance et qui se cachent dans la composition particulière des traits de visage, de la forme du crâne et plein de détails qui interagissent entre eux et créent un ensemble agréable à admirer. Je suis persuadée que la beauté n’est pas liée avec le mot « maquillage », « une bonne coupe de cheveux » et d’un vêtement à la mode. 

Oui, cela participe dans la création du style plus attirant mais la beauté c’est soit qqch qu’on a, soit qqch qu’on n’a pas. A mon avis plus la personne est belle dans son esprit, plus elle belle physiquement. Tout est lié, car qqn de méchant et de mécontent transmet l’énergie négative qui n’est pas capable d’accumuler l’énergie de la bonté. Pour être « beau » au sens large du terme, il n’est pas suffisant d’être souriant, il faut être vraiment « beau » et « gentil » avec les autres et avec soi-même. 

Oscar Wilde a d'ailleurs dit: "La beauté est dans les yeux de celui qui regarde".

Ainsi donc, je me demande si la beauté est-elle une valeur (au niveau d’appréciation) que l’on attribue personnellement ? Peut-on considérer la beauté comme une qualité ou une caractéristique chez qqn ? Cela me semble impossible, car la définition de la « beauté » dépend des goûts et de la perception de chacun. 

Je crois que la beauté est une valeur qui s’exprime chez chacun de nous à des niveaux d’intensité différents. La beauté de telle ou telle personne ne s’évalue également pas aux yeux de tous. On a tous nos critères pour définir la beauté mais ce qui est intéressant qu’avec le temps ces critères changent car nos goûts changent et notre développement personnel a un impact considérable sur notre vision et la perception des gens. 

Par ailleurs, les critères de beauté qu’impose la société se basent seulement sur le développement de la mode. Ces critères ne sont pas du tout basés sur la perception de la beauté par l’être humain. Preuve : chacun individu et chaque société a une vision différente d’une vraie « beauté ». Donc, chaque personne trouve la beauté pour les raisons différentes et fortes personnelles. Je crois également que la perception de la beauté dépend du niveau de la culture personnelle. Plus on est instruit, plus on comprend le véritable sens de la beauté humaine et de la beauté au sens large. Il suffit peut-être juste d’ouvrir les yeux et observer attentivement tout ce qui est autour ? Ou bien, il suffit de trouver les petits détails qui sont jolis, simples et harmonieux ? 

Les gens sans doute sont capables d’apercevoir et d’accumuler la beauté qui les entoure.

21 janvier 2013

Une bonne année qui commence...

Une nouvelle année est venu assez rapidement. Début janvier j'étais un peu en mode vacances et puis les examens et les péripéties de l'université qui primaient pendant une semaine. Tout cela s’est terminé par le début du nouveau semestre. 

Le temps passe très vite. 

Aujourd'hui est déjà 21 janvier. Dans 10 jours c'est le mois de février qui commence et qui passera surement vite vu que c'est le mois le plus court de l'année. 

J'ai passé tous mes examens, maintenant j'attends les résultats et en même temps travaille pour réussir déjà le deuxième et le dernier semestre de ma licence.

Je pense que l'année 2013 sera pleine de belles émotions et surtout de changements. Il me faudra entrer en master quelque part, me préparer et réussir le stage de fin d'études et, bien sûr, réussir ma licence. Il y a une semaine je me suis fait une liste de ce que je dois faire régulièrement durant ce semestre. Les projets sont beaux, néanmoins j'ai toujours peur et je ne suis pas sûre que tout ira bien. D'une part, il n'y a aucune raison que tout aille mal, mais d'autre part j'ai des doutes. On dirait que c'est normal avoir les doutes parce que comme ça réfléchie et on fait un bon choix qui est le plus approprié à la situation en question. Mais les doutes m’envahissent. C'est déjà licence 3, bien qu’il y ait peu de temps j'étais en première année et je pensais que la licence 3 est tellement loin. Et en fait non. Il suffit de plonger dans les études, dans les choses qui sont plutôt intéressantes que le temps accélère et ne s'arrête plus. Déjà, il faut penser sérieusement à mon master et faire les dossiers avec les fortes motivations. Oui, oui je suis vraiment motivée et j'ai plein d'arguments pourquoi je dois être prise en master choisi. Il faudra bientôt postuler pour master. J'ai choisi le master à Poitiers, à Lyon et peut-être à Lille. A Poitiers c'est la communication/rédaction web. Cela m'intéresse le plus mais par sécurité je vais postuler pour Lyon et pour Lille pour la filière de la communication organisationnelle pour ne pas louper la possibilité d'entrer en master cette année. 

Les changements qui s'approchent, me font trembler un peu et surtout entraient mes nerfs et me faisant grandir. Je résiste, je me prépare, je travaille, je développe mes capacités et mes compétences spécifiques, j’apprends à réfléchir d’une manière constructive. 

Un autre point important qui nécessite beaucoup de motivation personnelle est le sport. Oui, oui je me force de faire du sport mais... je n'y arrive pas. Et pourtant il faut car la plupart du temps je suis assise à l’université ou devant l’ordinateur et par conséquent je ne bouge pas beaucoup dans ma journée. Il faut reprendre une bonne habitude d'aller à la piscine, et puis aussi profiter de mon abonnement de fitness. Je suis trop décontractée ce dernier temps. Avant c'était la pression liée à mes études car je n'arrivais pas à bien bosser à cause de mon niveau de français et maintenant quand je suis plus à l'aise je me permets d'être paresseuse et de ne rien faire pendant mon temps libre en dehors des cours. Mais où est ma force, ma volonté, ma passion? Je dois travailler mes cours d'une manière efficace et puis aussi continuer à développer mon français car le domaine de rédaction c'est sérieux et il faut posséder de bonne qualités rédactionnelles aussi qu’autre chose. 

Malgré tout, l'année commence bien. Avant-hier à Rennes il a neigé. Cela m'a fait penser à l'hiver à Kiev. Maintenant toute la neige a fondu et il ne reste plus que l'herbe verte qui reprend sa couleur vive et fait approcher le printemps. Non, pas encore, restons au froid. On aura encore le mois de février qui n'est jamais prévisible et après cela on pourra penser au printemps avec plein de fleurs un peu partout dans la rue. 

Cette année je pense aussi très sérieusement à aller à l'auto-école pour passer mon permis. Oui, pour moi c'est une action plutôt inutile mais je commence à me sentir déjà handicapée même si je n'ai jamais besoin de la voiture. Après avoir réglé le choix de master il faudra s'occuper de l'auto-école et m'y investir à fond. Ouf! 2013 promet être une année très riche en événements productifs et importants pour mon futur. 

En attendant de faire tout cela, maintenant il faut penser à la réussite de mon semestre à Rennes 2. Il y a beaucoup de matières intéressantes qui nécessitent aussi beaucoup tantôt de travail personnel, tantôt de travail en groupe avec mes collègues de la promotion. 

Tout cela peut paraître comme une notice de bonnes résolutions 2013 mais c'est juste l'histoire de reprendre mon chemin, suivre mes balises qui me permettront de ne pas me perdre, de ne pas tomber, de vivre à mon rythme et surtout de m'appuyer sur mes piliers.